Vidéo : Dites.. M. le député, c’est quoi le P2P ?
Le site bakchich.info avait déjà fait le coup lors du vote de HADOPI 1. Aujourd’hui il remet le couvert et demande à quelques députés de nous expliquer ce qu’est le P2P. Plutôt difficile à expliquer, voire même un grand moment de solitude pour certain
Le site bakchich.info avait déjà fait le coup lors du vote de HADOPI 1. Aujourd’hui il remet le couvert et demande à quelques députés de nous expliquer ce qu’est le P2P. Plutôt difficile à expliquer, voire même un grand moment de solitude pour certains …
pas mal le coup du "pier to pier" qui devient un quai à quai hahaha !!
L’histoire ne dit pas si certains ont bien répondu… ;)
Certains *opposants* bien sûr…
Ce qui est grave, c’est que ces gens là ont voté : pour ou contre mais sans savoir de quoi il en retourne … affligeant … imaginez ces mêmes abrutis votant pour des lois plus sérieuses, y a de quoi flipper quand même … ;)
Les députés FR dans toute leur splendeur: Ils votent pour ou contre des lois qui ne les concernent pas, alors cela n’ intéresse pas ces messieurs-dames de la haute….
navrant, dépitant, et le pire c’est qu’ils ont quand même eux droit à une sacré augmentation de salaire. Moi, dans mon taf, si je fais ça, que se passe-t-il? Je me fait virer… Eux? Ils sont augmentés… Et on nous sort en plus qu’il n’y a plus de sous dans les caisses, tiens donc…….c’est ça qui me dégoute dans ce système politique à deux balles……..un président bling-bling malpoli marié à une profiteuse qui sait bien retourner sa veste, mais c’est pas grave, les contribuables lui payent quand même ses vacances en Amérique latine et ses maisons/domaines…. Je projète de me casser de ce pays avant que ça devienne du n’importe quoi, car il ne faut pas espérer quoique ce soit de la populasse, les français poussent beaucoup de coup de gueules, mais dès qu’il s’agit d’agir réellement(je ne parle pas des manifs, mais d’action réelles), il n’y a plus personne….Ce pays est voué à l’auto destruction par son gouvernement, personne ne fait rien. Au secours. . . . . . . . .