GENIUS Posté(e) 20 avril 2002 Auteur Posté(e) 20 avril 2002 Ben tout le monde n'est pas dispo au meme moment donc c CHO.... Le mieux c'est de lancer une recherche et laisser le temps de trouver la soluce ou le bon lien :D Citer
kost Posté(e) 20 avril 2002 Posté(e) 20 avril 2002 ok, il faudrait donner une date limite et a ce moment la, on compare toutes les reponse et on prend la plus complete, la plus mieux. :D Citer
jeepee Posté(e) 20 avril 2002 Posté(e) 20 avril 2002 moyennant une bonne organisation, y doit y avoir moyen de faire ça bien avec un max de participants de bh, fixons un rendez-vous suite à une sorte de référendum pour tous... je sais pas exactement comment, mais y a surement des as de l'organisation pour préparer ça, non? :biere: :biere: Citer
GENIUS Posté(e) 20 avril 2002 Auteur Posté(e) 20 avril 2002 YES.. DES PM à tout le monde..... et rulezzzzzzzz Citer
SEB Posté(e) 21 avril 2002 Posté(e) 21 avril 2002 le petit jeu n'est pas terminé ... personnne n'a trouvé la bonne réponse :) Citer
GENIUS Posté(e) 21 avril 2002 Auteur Posté(e) 21 avril 2002 le petit jeu n'est pas terminé ... personnne n'a trouvé la bonne réponse :) C des formats de cellule alors...!!! ça peut etre que ça.. que l'on insère dans des syntaxes Citer
SEB Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 Au fait ce p'tit concours est toujours d'actualité car décidement personne n'a encore trouvé :) Citer
kost Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 Des ondelettes pour compresser les images Qui a déjà téléchargé des images sur son ordinateur sait à quel point l'opération peut se révéler longue. D'où la nécessité de réduire la taille des fichiers informatiques. La nouvelle référence en matière de compression est issue d'un concept mathématique récent : les ondelettes. De plus en plus, le traitement d'images ne se fait plus en chambre noire mais sur l'écran d'un ordinateur. Et nous parlons d'images numériques. Qu'entend-on au juste par numériser une image ? Comme dans tout autre procédé de numérisation, le principe est de transformer l'information en une suite de 0 et de 1 : les fameux bits. Pour y parvenir, il faut coder l'image. Une technique courante est d'associer à chaque pixel (point sur l'écran) 3 entiers compris, en général, entre 0 et 255. Ils indiquent la proportion de rouge (red), de vert (green) et de bleu (blue) : c'est le code RGB (utilisé pour notre téléviseur couleurs). Pour une image de qualité standard, on compte 640 pixels par 480, soit 307 200 pixels ; ce qui aboutit à un fichier numérique de plusieurs centaines de kilo-octets*. Si l'on veut avoir une résolution de qualité photographique, la taille du fichier est au moins multipliée par 10. Que ce soit pour stocker, manipuler, imprimer ou transférer l'image, il est donc crucial de diminuer la taille de ces fichiers, tout en gardant l'information pertinente : il faut compresser l'image. Aujourd'hui, la norme de compression la plus courante est la norme JPEG. Elle a été mise au point à la fin des années 1980 par un groupe d'experts nommés par des organismes nationaux de normalisation et des industriels : le Joint Photographic Expert Group (JPEG). Cette norme repose sur une méthode mathématique qui porte le nom de « transformée en cosinus discret » (TCD). Le principe est de découper l'image en blocs de 8 pixels par 8 et de travailler indépendamment sur chacun de ces blocs. Un bloc est représenté par 64 nombres qui, en général, ne sont pas liés entre eux. Lorsque l'on applique la TCD à cette suite de nombres, on obtient une nouvelle suite de 64 nombres rangés en ordre décroissant. Si le bloc ne représente pas des motifs aléatoires, la fin de cette suite est constituée de nombres très petits. On décide alors d'annuler a priori un certain nombre de ces coefficients - par exemple, de ne conserver que les 8 premiers. Cette opération permet de compresser le fichier d'un facteur 8 tout en conservant l'information la plus pertinente (les plus grands nombres de la suite). La méthode présente cependant une limite majeure : à fort taux de compression, les frontières entre les blocs deviennent très visibles. D'où une utilisation impossible en imagerie médicale : les frontières deviennent des artefacts qui ont de grandes chances d'induire un médecin en erreur lors d'un diagnostic. Aussi, la Food and Drug Administration (FDA) avait interdit aux médecins de faire appel aux méthodes de compression, limitant de facto tous les rêves de traitements médicaux à distance. La situation vient de changer : pour la première fois, la FDA a agréé un algorithme de compression, la nouvelle norme « JPEG 2000 ». Celle-ci fait appel à une autre technique d'analyse mathématique : l'analyse par ondelettes. L'histoire des ondelettes commence à la fin des années 1970. Leur découverte est due à un ingénieur d'Elf-Aquitaine, Jean Morlet, alors à la recherche de nouvelles manières d'analyser des signaux issus de relevés sismiques en prospection pétrolière. D'une efficacité redoutable mais extrêmement complexe, l'analyse par ondelettes effraya les dirigeants d'Elf-Aquitaine qui craignaient une escroquerie semblable à celle des « avions renifleurs » censés détecter le pétrole fossile. Invité à prendre une retraite anticipée, Jean Morlet retourna à son laboratoire d'origine de l'Ecole polytechnique de Palaiseau. Là, l'une de ses vieilles connaissances, Roger Balian, professeur de physique statistique, le réorienta vers Alex Grossmann, un physicien théoricien de Marseille. Les deux chercheurs se lancèrent alors dans l'étude de ces étranges objets mathématiques. Qu'est ce qu'une ondelette ? Citons Alex Grossmann, dans l' Encyclopédie Universalis : « En schématisant à l'extrême, nous dirons qu'une ondelette est l'idéalisation mathématique d'une note de musique. De même que l'on représente une oeuvre musicale sous forme de séries de notes portées sur une partition, de même on peut songer à utiliser des "notes mathématiques" pour représenter certains objets mathématiques, tels des fonctions ou des signaux. » En un peu plus de vingt ans, les ondelettes ont été appliquées avec plus ou moins de succès à la suppression de bruits dans un signal, à la résolution d'équations différentielles, à l'analyse de signaux biologiques ou encore au stockage d'empreintes digitales, et, ce qui nous intéresse ici, à la compression des images numériques (Lire une présentation mathématique des ondelettes sur www.larecherche.fr). Nouvelle norme. La transformation en ondelettes repose non plus sur un découpage de l'image en blocs dans l'espace physique, mais sur un découpage dans l'« espace des échelles ». La notion d'échelle, essentielle en physique, fait référence au niveau auquel on perçoit un objet : par exemple, selon les problèmes étudiés, la Terre peut être considérée comme un point matériel, une sphère, un ellipsoïde de révolution, ou un solide de surface irrégulière. La transformation en ondelettes classe les échelles par ordre décroissant, et compresser par ondelettes revient à ne retenir a priori qu'un nombre déterminé d'échelles en excluant les plus fines. Les avantages de cette technique sont nombreux. Tout d'abord, on ne perçoit plus de limites de blocs sur l'image finale. Ensuite, il est possible de définir à l'avance le taux de compression. Pour les grosses images, ce dernier peut être très important (une image de 50 Mo peut être facilement ramenée à 1 Mo). Enfin, la restitution de l'image (la décompression) se fait de manière progressive : l'image se reconstitue petit à petit à l'écran, à la manière d'une mise au point, avec un confort visuel non négligeable lorsque l'on télécharge une page Web. Le langage Java vous permet d'ores et déjà de manipuler les images compressées par ondelettes sur votre navigateur Internet, et, dans la mesure où il s'agit d'une nouvelle norme, tous les logiciels courants de traitement d'image y seront adaptés. Pour le mathématicien, une chose étonnante dans l'histoire des ondelettes est le délai très bref qui aura été nécessaire pour mettre au point des algorithmes efficaces et pouvoir transférer cette technologie à des applications « grand public ». Citer
SEB Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 :??: Kost désolé de te dire ça mais ton post n'a aucun intérêt ! :P Le but du jeu est de trouver ce que sginifie BLUE mais de copier/coller tous les textes ou il y a blue (alias bleu) dedans. :D Citer
kost Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 ben ca racontes que pour faire les images comme par exemple les jpegs, ils utilisent le code RGB avec la couleur bleu. Citer
SEB Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 Pour info : B.L.U.E. est un accronyme :P A vous trouver de quoi il s'agit ;) Citer
SEB Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 non plus... ça a un rapport avec les mathématiques ;) Citer
Pimprelune Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 ?????? Une array est une variable avec des indices qui sont des chaînes de caractères. Comme l'indice n'est pas entier, on parle souvent de associative array. Les arrays se manipulent comme des variables simples. set a(color) blue => blue set color_now $a(color) => blue ????? :??: :??: :??: Citer
SERVAL Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 il va falloir que tu nous donnes des preuves credibles ;-) :biere: Citer
kost Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 BLU Bande Latérale Unique (SSB T'as oublié le E :lol: :lol: :lol: Citer
Pimprelune Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 Ne me dis pas que tu parles tout simplement de Big Blue? :??: Citer
SERVAL Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 OUAIS ça fait 2 fois.... :lol: ben ouais mais 2 differents non je parle pas de big blue(IBM) Citer
SEB Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 alors les gens ... Que signifie B.L.U.E. en arithmétique ? Citer
Maverick Posté(e) 5 mai 2002 Posté(e) 5 mai 2002 Le BLUE fait partie du code RGB associé avec le rouge et le vert.... :cool: Merci le diplome...Hein GENIUS ;) En fait, c'est RGB en anglais, Red. :ange: CMYB sont les couleurs primaires, Cyan, Magenta, Jaune, Noir ( le noir etant quelques foix composé par le mélange des trois premières) voir certaines cartouches d'imprimante. Haaa, souvenirs, souvenirs... @+ Maverick :biere: ;) :biere: Citer
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