Test du convertisseur usb IDE et SATA

Conclusion

Voici un petit accessoire que tout dépanneur ou assembleur se doit de posséder. Il est complet, très facile à mettre en œuvre et il fonctionne parfaitement.

Tester un disque, examiner son contenu, copier des données, désinfecter, … des tâches qui seront réalisées bien plus facilement et sans devoir procéder à des branchements fastidieux. Vraiment pour une trentaine d’euros ce serait dommage de s’en passer.

Encore un petit détail au sujet de l’alimentation : elle ne chauffe pas du tout. Après plus de 30 minutes d’utilisation intensive elle est à peine tiède sur la moitié d’une face. Je connais des constructeurs de PC portables qui devraient demander à DIGITUS des conseils à ce sujet …

Les plus :
– Le package 100% complet.
– La possibilité d’utiliser tous les types de disques durs existants.
– La qualité de fabrication irréprochable.
– Le format très compact.
– Le rapport prix/services rendus.
– La compatibilité avec Linux.
– Le débit soutenu lors de l’utilisation avec un graveur.
– L’alimentation assez puissante pour n’importe quel disque ou pour un graveur.

Les moins :
– Le câble secteur rigide et court.
– Le mode d’emploi en Macromedia Flash.
– L’absence d’une sacoche pour ranger le module et tous ses accessoires.
– Le taux d’occupation CPU un peu élevé (probablement dû à l’interface USB).
– La position du connecteur 3.5″ (risque de problème avec certains lecteurs optiques si le connecteur d’alim est juste à côté du connecteur ATA). »

Info de dernière minute : on vient de découvrir qu’un produit équivalent est disponible sur cette page du site de Ldlc.fr

Mise à jour de l’article :

Peu après la publication de cet article, j’ai lu à différents endroits que le formatage de disque dur ne serait (soit disant) pas possible avec cet appareil. Je n’en avais pas parlé dans l’article mais je tiens à préciser que cela fonctionne très bien. Pour ce test, j’ai formaté deux disques durs : un IDE et un SATA.

Afin de ne plus laisser planer de doute, je viens de refaire l’expérience avec un disque entièrement neuf (jamais partitionné), suivie du partitionnement du disque (via les « outils d’administration » de Windows XP) et enfin le formatage en NTFS. Les opérations se sont déroulées sans le moindre accroc comme vous pouvez le voir ci-dessous :

Vous trouverez ici une capture d’écran du disque dur formaté.