Test du graveur RACER 24/10/40
Depuis ses débuts, l’informatique est en constante évolution et n’a cessé de s’améliorer et de se perfectionner. Les processeurs sont de plus en plus puissants, les cartes graphiques de plus en plus performantes et le moindre composant d’un PC se doi
Technologies embarquées :
BURN-Proof : Tout d’abord, il faut savoir que BURN-Proof est un diminutif de Buffer Under RuN Proof, ce qui signifie littéralement « à l’épreuve des Buffers Underruns ». Pour information; les Buffer Underruns sont des erreurs pouvant survenir durant la gravure d’un CD, lorsque le flux de données envoyés au graveur n’est pas suffisamment constant, et provoque ainsi un vide de la mémoire cache du graveur.
La technologie BURN-Proof, qui équipe désormais la majorité des graveurs récents, permet donc d’éviter ce genre d’incidents, qui la plupart du temps, rendaient le CD inutilisable. Grâce à elle, il est désormais possible de réellement faire du multitâche, d’utiliser plusieurs logiciels simultanément pendant la gravure d’un CD, et cela sans risquer de se retrouver avec un CD bon pour la poubelle.
Ce petit dessin explicatif réalisé par SANYO illustre bien les possibilités du BURN-Proof.
graveur sans technologie BURN-Proof | graveur avec technologie BURN-Proof |
FlexSS-BP : La technologie FesxSS-BP (Flexible Speed & Flexible Strategy of BURN Proof) permet au graveur de déterminer quelle est la vitesse la mieux adaptée pour graver un CD, suivant la qualité de celui-ci et la vitesse d’écriture qu’il pourra supporter. Cet « examen » du CD a lieu non seulement dès l’insertion du CD mais également durant la gravure afin d’éviter toutes mauvaises surprises.
En effet, contrairement aux technologies voisines développées par la concurrence (Ricoh et Yamaha) la technologie FlexSS-BP permet d’adapter et d’optimiser la vitesse d’écriture du CD-R même durant le processus de gravage.
– Z-CLV : La technologie Z-CLV pour Zone Constant Linear Velocity, permet d’adapter la vitesse de gravure suivant l’endroit où doivent être stockés les données sur le média. Par exemple, comme le montre le petit schéma ci-dessous, la gravure d’un CD débute en vitesse 16x, passe ensuite en 20x et atteint enfin sa vitesse de pointe : 24x.
L’avantage de cette technologie est qu’elle peut réellement optimisée et adaptée la vitesse de gravure sur différentes zones du CD, évitant ainsi tous problèmes. Mais, car il y a un mais, l’inconvénient de cette technologie est que le CD n’est par conséquent jamais gravé à la vitesse maximale de 24x.
En effet, en passant successivement d’une vitesse 16x à 20x puis 24x, il en résulte que finalement le CD est gravé, dans le meilleur des cas, à une vitesse moyenne de 21x à 22x.
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