Test du PocketPC Asus MyPal A620

Hier réservés aux hommes d’affaires et peu performants, les Pocket PC (PPC pour les intimes) deviennent de plus en plus accessibles et revendiquent des performances dignes de ce nom. En plus de leurs habituelles fonctions d’agenda, ces machines sont désor

Le mode de saisie d’un Pocket PC ne se fait pas à partir d’un clavier ou d’une souris, mais à partir d’un stylet. En effet tous les Pocket PC disposent d’écrans tactiles. L’Asus n’échappe donc pas à cette règle. Il y a différents moyens d’entrer du texte dans un Pocket PC : le clavier virtuel (un clavier s’affiche à l’écran et il suffit de taper sur les lettres pour les utiliser), le mode reconnaissance de blocs, le mode reconnaissance de lettres et enfin le mode Transcriber.

Ces trois derniers modes utilisent des technologies de reconnaissance d’écriture. Les deux premiers permettent de saisir des lettres unes à unes et l’autres permet d’écrire un texte en entier puis de le faire reconnaître par l’ordinateur. Bien évidemment ces modes ne sont pas extrêmement précis, et il faut un certain temps pour s’y habituer. Personnellement je préfère le mode  » reconnaissance de lettres  » mais chacun ses goûts…

 

  

Le clic gauche de la souris est remplacée ici par un « tapé » du stylet et le clic droit par un « tapé » long en laissant appuyé le stylet. Détail pratique : le stylet se range dans un compartiment du Pocket PC prévu à cet effet.

Le but de cette partie était de familiariser les internautes ne connaissant pas du tout les Pocket PC à ces machines. Nous allons donc maintenant voir à quoi un Pocket PC peut-il servir, nous ne traiterons pas uniquement de ses fonctions d’agenda, ce qui ne serait pas d’un grand intérêt, mais nous nous intéresserons surtout aux applications auxquelles il n’était pas vraiment à l’origine destiné, mais qui finalement font son succès.


 

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